Paul Nizan, Les chiens de garde, 1932L'écart entre leur pensée et l'univers en proie aux catastrophes grandit chaque semaine, chaque jour, et ils ne sont pas alertés. Et ils ne s'alertent pas.L'écart entre leurs promesses et la situation des hommes est plus scandaleux qu'il ne fut jamais.Et ils ne bougent point. Ils restent du même côté de la barricade. Ils tiennent les mêmes assemblées, publient les mêmes livres. Tous ceux qui avaient la simplicité d'attendre leurs paroles commencent à se révolter, ou à rire.
Hugo Clément parle avec les chefs du Rassemblement national
-
Je dois commencer par le commencement : je connais très mal Hugo Clément,
et ne le lis pas. On le dit écologiste, et comme ce mot est si dévalué
qu’il ne v...
Il y a 4 semaines
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire