Paul Nizan, Les chiens de garde, 1932L'écart entre leur pensée et l'univers en proie aux catastrophes grandit chaque semaine, chaque jour, et ils ne sont pas alertés. Et ils ne s'alertent pas.L'écart entre leurs promesses et la situation des hommes est plus scandaleux qu'il ne fut jamais.Et ils ne bougent point. Ils restent du même côté de la barricade. Ils tiennent les mêmes assemblées, publient les mêmes livres. Tous ceux qui avaient la simplicité d'attendre leurs paroles commencent à se révolter, ou à rire.
À nos corps patientant
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La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail
échapperait-il à cette loi ? Laurence Parisot, Laurence Parisot, Le seul
moteur de la crois...
Il y a 1 semaine
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