vendredi 25 juillet 2014

... il est urgent d'agir!

Les journées d'été pour reprendre la main

lundi 21 juillet 2014

Les estivales en Gascogne

Librairie de Sarrant
Les Estivales de l'illustration à Sarrant
Les siestes inspirantes
Avec Bézian
Avec Dedieu

 Avec le président (au centre) de la Fédération Française des Associations Numismatiques F.F.A.N et l'organisateur du Salon élusate

Le tricunium au Festival Galop romain
Au temps des romains

jeudi 17 juillet 2014

Le débat sur les régions devient une grande comédie

C’est un piège et on va tomber dedans ! Il est énorme, visible depuis des mois mais rien n’y fait! Je veux parler du redécoupage des régions. Nous avions dit que ça tournerait à la comédie et ça se confirme.L’essentiel est ailleurs et il faut le répéter. L’essentiel est le pouvoir que l’on donnera aux régions avec les moyens financiers, budgétaires nécessaires à une vraie régionalisation. Il faut aussi une réforme fiscale approfondie pour donner des ressources fiscales aux régions.(un précédent article explique comment nous voyons les choses, notamment l’organisation institutionnelle qui nous parait répondre au besoin de représenter les territoires infrarégionaux) Une fois ceci dit et redit comme étant la base on ne peut que commenter le feuilleton du redécoupage. Si l’on voulait dévaloriser la Région on aurait pas pu trouver mieux que ce débat et ces cartes qui se succèdent. Nous sommes malades du bonapartisme, du centralisme. Il faut y ajouter un refus têtu de prendre en compte l’Europe. Qu’il est pénible d’entendre à longueur de discours qu’il nous faut des régions « fortes » des régions « puissantes ». C’est quoi ce discours ? Que veut dire « régions fortes ».
http://david-grosclaude.com/

mercredi 16 juillet 2014

«Je ne me retrouve plus dans l’exacerbation des invectives sur les listes, dans des volte-face de postures entre complaisance et radicalité, dans des congrès où les affrontements et fusion après jeux de rôle se préparent des mois à l’avance, où un talent n’aura pas la chance d’émerger s’il n’est pas dans le bon courant»

La sénatrice Marie-Christine Blandin a décidé de démissionner d’Europe Ecologie-Les Verts, regrettant dans une lettre publiée mercredi par le Nouvel Obs et adressée à la patronne du parti, Emmanuelle Cosse, les «invectives» ou les «postures» qui régneraient dans le parti.
«Je t’annonce avec tristesse mon départ définitif de notre parti EELV, que j’avais contribué à faire naître en 1984», écrit Marie-Christine Blandin dans cette lettre à «Emma». Marie-Christine Blandin a confirmé à l’AFP la teneur de cette lettre.
«Je ne me retrouve plus dans l’exacerbation des invectives sur les listes, dans des volte-face de postures entre complaisance et radicalité, dans des congrès où les affrontements et fusion après jeux de rôle se préparent des mois à l’avance, où un talent n’aura pas la chance d’émerger s’il n’est pas dans le bon courant», regrette celle qui avait pris la tête de la région Nord-Pas-de-Calais lors des régionales de 1992.

«Je ne me retrouve plus dans un parti écolo»

«Je regrette le manque de travail collectif et d’anticipation pour les sénatoriales, ce qui aboutit à des déchirements de dernière minute, à des échanges personnifiés et violents et à un vote du bureau exécutif qui fragilise l’avenir du groupe au Sénat», écrit-elle aussi.
«Je ne me retrouve plus dans un parti écolo qui oublie souvent faune, flore et écosystèmes, et qui a remplacé les souvenirs des sit-in par les applaudissements aux opérations militaires, et la convivialité par un antiparlementarisme montant», assure aussi Marie-Christine Blandin.
Va-t-elle rester dans le groupe écolo au Sénat? «Ca dépend de mes petits camarades, mais je ne ferai rien qui les fragilise, donc c’est une forte probabilité», a assuré à l’AFP Marie-Christine Blandin au sujet du groupe écologiste qui compte actuellement 10 membres, seuil minimal pour pouvoir former un groupe, et qui serait donc dissous si d’aventure Marie-Christine Blandin décidait de le quitter.

Jean-Vincent Placé réagit

«Je n’ai vraiment que de l’estime et du respect pour Marie-Christine  Blandin. Elle a fait un boulot remarquable au Sénat. C’est quelqu’un de conviction et sincère», a salué le patron du groupe écologiste au Sénat Jean-Vincent Placé, contacté par l’AFP. «Je prends cette lettre-là avec attention parce que je note des critiques et une lassitude du fonctionnement du parti», a-t-il aussi relevé.
«Elle va rester dans le groupe. Ce n’est pas un problème de groupe mais de parti. Elle veut continuer à travailler au sein du groupe des écologistes», d’après lui.
Marie-Christine Blandin, 62 ans, sénatrice du Nord, a été la première femme et première écologiste à présider une région française, le Nord/Pas-de-Calais, de 1992 à 1998. Elle est présidente de la commission de la Culture, de l’éducation et de la communication du Sénat et vice-présidente du groupe écologiste.
20 minutes avec AFP