jeudi 30 avril 2009

Gérard Onesta, vice-Président du Parlement européen à Auch

Michel Amat - Sud Ouest

Tracer le portrait de Gérard Onesta, vice-Président du Parlement européen depuis 10 ans, est un exercice délicat du fait de ses innombrables actions au sein de l’hémicycle mais aussi sur ces terres qui lui sont chères, des Pyrénées au Nord du Périgord, du Rhône à l’Océan ... sa petite circonscription d’une taille de 4 fois la Belgique ! Il est l’un des très rares députés à n'avoir jamais manqué une seule réunion du Parlement. Taux de présence toujours égal à 100 %.

Ecologiste né à Albi, il est impliqué dans la plupart des luttes en région, par exemple, sa présence comme témoin au procès AZF qui a lieu depuis le début de l’année.
Gérard Onesta reste un élu à l’écoute, proche des régions qui l’ont élu à trois reprises. Ce jeudi 30 avril 2009, il était de passage à Auch mais il est déjà venu en Gascogne en particulier soutenir la liste Auch éco Citoyenne lors des élections municipales en mars 2007.

Son histoire politique commence le 16 mars 1986 à 20 heures, il décide de rejoindre les verts après l’annonce dans les médias de la déroute des écologistes aux élections législatives alors que l’extrême droite glane plusieurs dizaines de députés.
Il devient Député européen en 1991 ... et un des benjamins parlementaires du continent européen.
Son combat se poursuit en 1995 jusqu’en Polynésie où il participe, déjà avec José Bové, à la campagne anti essais nucléaires. L'explosion de l'usine chimique AZF dans sa ville de Toulouse à l’automne 2001 et ses prises de position font de lui le fer de lance d’une convention pour l’Avenir de l'Union Européenne. Il s’engage au côté de centaines de faucheurs volontaires dans l’arrachage public d'OGM avec José Bové, Noël Mamère ou encore François Simon.

C’est à l’université Toulouse I que je le rencontre pour la première fois en 2005 lors d’une rencontre autour du traité constitutionnel européen (TCE). "Globe trotter", fédéraliste à forte sensibilité régionaliste, c’est un pilier incontournable des réseaux environnementalistes, tiers-mondistes ... et de plein d'autres (mais l'entraîneur de l'équipe de France de Hand Ball ce n'est pas lui, c'est son cousin Claude, également toulousain!).

Gérard Onesta a décidé de laisser sa place de Député Européen ; cet amoureux de la loyauté et de la créativité voit en José Bové son successeur. En politique d’après lui, « il y a ceux qui parlent et ceux qui font. » Lui est dans le camps de ceux qui font ... Voyez vous même sur www.onesta.net

Ce qu’il a fait :
C'est l'Europe qui a nourri son combat : Co-fondateur des Jeunes Verts européens (1988), de la Fédération des Partis Verts (1993), du Parti Vert européen (2004). Benjamin du Parlement européen de 1991 à 1994 (rapporteur pour les Droits des Peuples indigènes, délégué au Sommet de Rio…) puis Vice Président depuis 1999, réélu 4 fois à ce poste (un record !), Initiateur de la Démocratie participative continentale (succès des Agoras Citoyennes salué par toutes les ONG), projet réconciliant les Oui et Non pro-européens au TCE (Plan A+), certification environnementale (EMAS), statut des assistants, lancement de Europarl TV, création du Prix du Cinéma européen, en première ligne lors des drames (AZF) ou des luttes phare (fier d'avoir été condamné avec José Bové en tant que faucheur volontaire).

Rencontre publique avec Catherine Grèze et François Simon

Le Petit Journal du 30 avril au 6 mai 2009

dimanche 26 avril 2009

Rachida Dati : L'Europe la fait rire? Le nucléaire aussi ...

Rachida Dati : L'Europe la fait rire?
Vidéo envoyée par LePostfr

Voilà à quoi se résume l'Europe, le nucléaire et nos droits fondamentaux pour la candidate UMP!

Citoyens vous savez désormais pour qui ... ne pas voter ...

samedi 25 avril 2009

Elections européennes Europe écologie lance la campagne avant tout le monde

Alexis Boudaud et Fatma Adda ont accueilli la tête de liste féminine Catherine Grèze, et François Simon. Photo DDM, N. D.

La campagne des Européennes ne passionne les foules dans le Gers... sauf les amis d'Europe écologie, la liste conduite par José Bové, qui a semé ses premières graines en accueillant Catherine Grèze, jeudi. Seconde sur la liste conduite par José Bové, elle a exposé aux côtés de François Simon un point de vue opposé à celui défendu par les élus du département sur la mise en deux fois deux voies de la RN 124. «On est contre car la plus grande ville qui est Toulouse fait déjà aspirateur et ça appauvrirait encore plus Auch. Nous, on préfère que les investissements aillent sur le rail avec le doublement de la voie ferrée pour que le fret et les passagers se croisent plus facilement. Notre réponse face à la crise, c'est de relocaliser l'économie, c'est-à-dire aménager le territoire autrement, favoriser une agriculture de qualité et de proximité...» Des thèmes qui, pour la première fois ont fédéré l'écologie politique, puisque des Verts sont présents dans la liste, mais aussi l'écologie syndicale à travers Bové ou encore l'écologie associative à travers des militants de Greenpeace, des Amis de la terre... Contact: le site europeecologie.fr ou le mail europeecologie32@gmail.com

La Dépêche du Midi

mercredi 22 avril 2009

Meeting Jeudi 23 avril 20h30

Faut-il aussi voir dans l'acceptation française - d'aucuns diront la résignation - le résultat de l'absence de véritable débat public ?

Les "anti" ont-ils perdu la bataille de l'opinion ?

LE MONDE | 21.04.09

Les Verts et les antinucléaires français auraient-ils perdu la bataille ? Plus influents dans les années 1980 et 1990, où ils avaient surfé sur la vague de gauche, ils avaient décroché quelques trophées : le retrait du projet de construction d'une centrale à Plogoff (Finistère) en 1981, la fermeture du surgénérateur Superphénix en 1997. Mais ils ne sont jamais parvenus à imposer la fin du "tout nucléaire", encore moins l'arrêt progressif des 58 réacteurs d'EDF. Un maigre bilan comparé à celui des Grünen allemands, qui ont obtenu en 1998 la fermeture du dernier réacteur en 2020, dans le cadre du programme de la coalition politique SPD-Verts.

Quant à l'opinion publique, l'électricité nucléaire (qui n'émet pas de CO2) lui semble de moins en moins inacceptable, à mesure qu'augmentent les craintes du réchauffement climatique. Selon un sondage du cabinet Accenture (qui a interrogé 10 000 personnes dans 20 pays), 62 % des Français affirment que leur pays doit continuer à investir dans le nucléaire, car les énergies renouvelables ne suffiront pas à elles seules à assurer l'indépendance énergétique.

Des figures du mouvement environnementaliste se sont ralliées au nucléaire. Comme James Lovelock, membre de l'Association des écologistes pour le nucléaire et théoricien de l'"hypothèse Gaïa", qui veut que la planète puisse être appréhendée comme un être vivant (susceptible de se débarrasser des "microbes" que sont les hommes...). Ou Patrick Moore, l'un des fondateurs de Greenpeace. Ils estiment que le réchauffement climatique (montée des eaux, sécheresse dans certaines zones, écarts Nord-Sud accrus, transferts de populations...) est bien plus menaçant que le développement de l'énergie nucléaire.

Les craintes nées de la catastrophe de Tchernobyl, dans la nuit du 26 au 27 avril 1986, semblent s'estomper, même si l'on sait désormais qu'une partie de la France a été touchée par le nuage radioactif qui s'est échappé de la centrale ukrainienne. En France, depuis 1986, la plupart des incidents dans des centrales ont été classés de niveau 1 ou 2 par l'Autorité de sûreté nucléaire sur une échelle internationale (INES) de 0 à 7. Un incident de niveau 3 a été répertorié à Gravelines-1 en 1989, et il faut remonter à 1980 pour constater un accident de niveau 4 à Saint-Laurent.

Faut-il aussi voir dans l'acceptation française - d'aucuns diront la résignation - le résultat de l'absence de véritable débat public ? La décision de relancer la filière en France en construisant le premier réacteur EPR de troisième génération à Flamanville (Manche) a été annoncée dès 2004, notamment pour complaire à la CGT et lui faire accepter plus facilement la privatisation partielle d'EDF. Il a été inscrit dans la loi en 2005 avant même que le débat public, obligatoire pour ce type d'infrastructures, ne débute en novembre 2005. A l'automne 2007, Nicolas Sarkozy a exclu le nucléaire des débats sur le Grenelle de l'environnement, jugeant que la sécurité d'approvisionnement électrique n'est pas négociable.

L'opinion partage certes les préoccupations et les critiques des environnementalistes sur la transparence de l'information, la sûreté, la gestion des déchets ou la prolifération militaire. Autant de risques ou de menaces qui ne seraient pas suffisamment pris en compte par les pouvoirs publics. Les antinucléaires semblent encore suffisamment dérangeants pour qu'une entreprise de sécurité sous contrat avec EDF, voire des responsables d'EDF, ait décidé de se livrer à un piratage de l'ordinateur d'un membre important de Greenpeace France.

Les dirigeants du groupe public ont formellement démenti leur implication, mais ils ne cachent pas leur crainte : voir des militants de Greenpeace ou du réseau Sortir du nucléaire pénétrer dans une centrale. Et prouver ainsi que des terroristes pourraient y entrer...

Jean-Michel Bezat

samedi 18 avril 2009

Société nucléaire, plus que jamais policière

Si certains slogans issus des années 1970 peuvent aujourd'hui sembler désuets, il en est au moins un qui reste d'une furieuse actualité "Société nucléaire, société policière" [...] Force est de constater que l'énergie nucléaire intéresse principalement les autocrates. Certes l'industrie atomique a réussi à s'implanter dans des pays qui ne sont pas des dictatures, mais rarement de façon démocratique. En France, le programme nucléaire a été lancé en 1973 sans consultation de la population... ni même de l'Assemblée Nationale! Aujourd'hui, les principaux promoteurs de l'atome sont des gens charmants, comme Poutine, Hu Jintao, Sarkozy, Berlusconi, Kadhafi, Ahmadinejad, ect. Pour eux le risque nucléaire n'est finalement pas un problème à gérer, mais au contraire un parfait prétexte pour surveiller ou arrêter les écologistes ou les citoyens un peu trop curieux. " Société nucléaire, société policière". L'atome ne nuit pas seulement à l'environnement et à la santé des êtres vivants: il irradie aussi la démocratie ...
www.sortirdunucleaire.org/dossiers/confidentiel-defense.html
Politis du 9 au 15 avril 2009


Quelques jours après la lecture de cet article, vendredi 17 avril, je me suis rendu à Pierrelatte à quelques pas de la C.N. de Tricastin. Arrivé à proximité, j'ai voulu faire une photo de l'entrée avec les deux cheminées. Je me suis aventuré sur le parking visiteur mais un gardien du site est venu me demander pourquoi je faisais cette photo et m'a prié de quitter le parking pourtant "vide".
J'ai donc réalisé quelques clichés en dehors du site. Ayant repris mon véhicule vers la route du retour, deux militaires de la Gendarmerie en service pour AREVA m'ont interpellé pour un contrôle en règle : papier d'identité, fouille du véhicule, appels téléphoniques sur Valence pour des vérifications complètes et questions (d'où êtes-vous, que faites-vous ici, comment et pourquoi ...). Ils m'ont finalement laissé " en liberté " (... surveillée?) en me confirmant qu'il n'était pas interdit de faire des photos, que j'étais bien "libre" d'en faire...
Oui, jamais surveillance n'a été aussi bien ficelée que sous notre ère nucléaire. Militez vous êtes surveillé(e)!

vendredi 17 avril 2009

jeudi 16 avril 2009

AREVA aujourd'hui ...

Né en 2001 du regroupement des sociétés CEA-Industrie, COGEMA, Framatome ANP et FCI, Areva est aujourd'hui leader mondial de la conception et de la construction de centrales nucléaires. En 2005, ces activités représentaient 23 % du chiffre d'affaires du groupe énergétique français de 10,125 milliards d’euros.

Depuis 2003, Areva s'est distingué à travers le développement de réacteurs de 3e génération, dits EPR, ou le projet ITER de Cadarache. En 2006, le groupe d'Anne Lauvergeon a dû faire face à quelques difficultés : problèmes industriels dans la construction du 1er réacteur EPR en Finlande, mais aussi échec commercial après l'attribution par la Chine d'un contrat de plusieurs milliards de dollars pour la construction de 4 réacteurs de 3e génération, au détriment du groupe français.
Areva face à ses responsabilités
L’association Sherpa, en partenariat avec Médecins du Monde et la CRIIRAD, a révélé aujourd’hui la teneur d’un rapport de mission sur les conséquences sanitaires et environnementales de l’exploitation de l’uranium au Gabon et au Niger par l’entreprise Areva.
Le bilan est sévère. Sont notamment mis en évidence de graves manquements aux obligations élémentaires de l’entreprise en matière de formation et de prévention des risques propres l’exploitation des mines d’uranium. Les conséquences de ces négligences ont pour effet de générer une attente et un ressentiment très forts de la part des travailleurs à l’encontre d’Areva, notamment du fait des sérieux problèmes de santé rencontrés par nombre d’entre eux. En outre, une réelle inquiétude est également manifestée quant à l’impact écologique sur l’eau, l’air, la flore et la faune de la région. Pour Jacqueline Gaudet, présidente de l’association Mounana (association des anciens travailleurs expatriés du site de Mounana au Gabon) : « Il y trop de cancers parmi les expatriés. La COMUF (filiale d’Areva au Gabon) ne répond pas aux demandes de communication des dossiers médicaux. Nous demandons plus de transparence de la part d’Areva et la reconnaissance des maladies professionnelles par la sécurité sociale française. En outre, il est tout à fait anormal que les travailleurs gabonais soient obligés de payer pour se faire soigner ». Pour Almoustapha Alhacen, président de l’association AGHIR N’ MAN (association nigérienne de protection de l’environnement) : « Areva fait la loi au Niger et a vu d’un très mauvais oeil que notre association ait sensibilisé les travailleurs sur les risques encourus, alors que les dangers de la radioactivité n’ont pas été signifiés aux travailleurs par les sociétés minières. Alors qu’Areva a déjà exploité plus de 100 000 tonnes d’uranium au Niger, Anne Lauvergeon, malgré nos demandes, n’a jamais pris la peine de nous rencontrer ». Pour Michel Brugière, directeur général de Médecins du Monde : «L’hôpital de Mounana au Gabon est un trompe l'oeil. Non seulement le personnel n’est pas formé aux pathologies liées à la radioactivité, mais en plus le médecin de l’hôpital n’a pas pu obtenir les résultats des analyses dosimétriques. La moitié des 481 questionnaires auquel ont répondu les travailleurs révèle des troubles pulmonaires, cardiovasculaires et ophtalmologiques. Une véritable surveillance et une prise en charge sanitaire doivent être mises en place ». Pour Bruno Chareyron, responsable du laboratoire CRIIRAD (Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité) : « Au Niger, comme au Gabon, AREVA doit assumer ses responsabilités et appliquer la règlementation internationale en matière de radioprotection, c’est-à-dire réduire au maximum les doses de radiation auxquelles sont soumises les populations et les travailleurs et confiner sur le long terme les déchets radioactifs. Ce n’est pas le cas aujourd’hui ». Pour Jean-Pierre Getti, vice-président de Sherpa : « Il apparaît qu’Areva a commis de graves manquements aux obligations élémentaires de l’entreprise en matière de formation et de prévention des risques propres à l’exploitation des mines d’uranium. Sherpa dispose maintenant de tous les éléments nécessaires et suffisants pour soutenir toute action judiciaire décidée par ses partenaires ». Areva, anticipant les conclusions et critiques de ce rapport, a proposé, par un communiqué de presse du 16 mars 2007, la création d’un observatoire de la santé autour de ses sites miniers et une veille sanitaire. Cette initiative répond manifestement à deux des revendications de Sherpa. Toutefois elle est insuffisante eu égard aux difficultés rencontrées par la grande majorité des travailleurs concernés ou anciens travailleurs qui doivent assumer seuls les frais médicaux générés par leur activité présente ou passée à la mine. De même, convient-il d’assurer l’indemnisation des familles ayant perdu un proche. Aussi est-il indispensable d’envisager la mise en place d’un fonds permettant la prise en charge de telles dépenses. Beaucoup de questions restent en suspend concernant cet observatoire. Pour s’assurer de son efficacité, les associations sont disposées à participer à la réflexion avec Areva pour trouver des réponses concrètes et justes à l’ensemble des légitimes préoccupations des travailleurs. Pour William Bourdon, Président de Sherpa : « Areva peut-elle communiquer sur le développement durable et ne pas prendre en compte la santé des travailleurs des mines d’uranium en Afrique ? Sauf à ce que l’uranium devienne pour Areva son amiante africain ».

samedi 11 avril 2009

Journée des collectionneurs

La Dépêche du Midi du 10 avril

vendredi 10 avril 2009

Grand Meeting de Toulouse - Europe Ecologie

Grand Meeting de Toulouse - partie 1 - Europe Ecologie
Vidéo envoyée par EuropeEcologie

Toutes les têtes de listes d'Europe Ecologie étaient présentes à Toulouse mercredi 8 avril pour le grand meeting de lancement de la campagne Europe Ecologie. Vous étiez 1600 présents pour les soutenir à la Halle aux grains !

Grand Meeting de Toulouse - partie 4 - Europe Ecologie

Grand Meeting de Toulouse - partie 4 - Europe Ecologie
Vidéo envoyée par EuropeEcologie

Sandrine Bélier, Michèle Rivasi, Isabelle Durant et Gustave Alirol

mardi 7 avril 2009

L'Agenda 21 en question

Attention de ne pas transformer la concertation avec les citoyens par un dispositif participatif directif où seront listés les orientations municipales. Le caractère plutôt contraint d’une durée d’atelier de 2 heures pour présenter, expliciter, débattre et recueillir des idées avec des participants peu informées de l’actualité et sujets très nombreux risque de verrouiller l’implication citoyenne.
L’ampleur du contenu de l’Agenda 21, tel qu’il est exposé, va impliquer un lourd travail d’abord de pédagogie puis de méthodologie (animation et rédaction des actes) Ces actes se doivent d’être publiés ensuite sur site internet, afin que chacun ait le même niveau d’information.

Ces « ateliers 21 » se dérouleront mardi 21 avril à 18 heures au Mouzon. Une restitution des travaux sera effectuée mercredi 10 juin à 20 h 30 au Mouzon. Dans chaque atelier, les élus présenteront les axes de la politique Montaugé et attendront un débat et des orientations de projets. L’Agenda 21 de la ville sera proposé à la fin de l’année en Conseil municipal.
Sud Ouest

Sur l’organisation même des 5 ateliers :
Le travail déjà entrepris par le Conseil Général a été apprécié. Cela peut être un piste de travail. La consultation des citoyens (réunions locales à des dates … différentes) et animation multiforme de ces soirées, qui se déroulaient en plusieurs temps :
- exposé présentant, l’une après l’autre, chaque “piste de travail ” proposée par les élus pour le thème en question : la problématique, le besoin recensé, les idées de mise en oeuvre…
- débat avec les citoyens-participants : questions, éclaircissements + suggestions …
- recueil de contributions écrites appelées à être exploitées ultérieurement ;

Ceci demande du temps … chaque participant devant “s’approprier” le sujet. Certaines collectivités déclinent dans une forme très aboutie -par ex. démarche "Toulouse citoyenne" ou les "budgets participatifs de quartiers" que la Ville d'Agen vient de démarrer.

Un Agenda 21 impose différents axes de travail que les participants devront garder en tête : lutter contre le changement climatique, protéger les ressources, favoriser la cohésion sociale et la solidarité entre les territoires et les générations, encourager l’épanouissement de l’être humain et instaurer une dynamique de développement selon des modes de production responsables.
Sud Ouest
Il impose également un dispositif méthodologique et non directif.

lundi 6 avril 2009

vendredi 3 avril 2009

La démocratie participative dans la démarche de Développement Durable

Conférence / colloque / débat
Le 4 avril 2009, pour Grand public

Samedi 4 avril 2009 15h30 - IUT Auch 24 rue Embaquès - Table ronde et débats autour des éco-quartiers en intégrant la méthodologie d'actions pour la prise en compte de l'expertise des citoyens dans les projets avec la présence de Régis Godec, Maire-adjoint de Toulouse et du réseau national de l'Université du Citoyen (Les Ateliers du Citoyen Midi-Pyrénées)


Auch Eco Citoyenne - Association

28 ème rencontre départementale -Semaine de Développement Durable


Denis Conus, préfet du Gers et Philippe Martin, président du conseil général du Gers ont ouvert conjointement les vingt huitième rencontres départementale des acteurs du développement durable initiées et organisées par Jacques Lesponne, directeur à la Préfecture du Gers. De nombreux acteurs sont venus appuyer le dispositif départemental; le lycée de Beaulieu Lavacant a accueilli en ses murs ces derniers notamment Valoris, covoituragers ou Auch éco-citoyenne.
La mise en place de l' Agenda 21 par la Mairie d'Auch par le biais du 1er Forum du 2 avril s'inscrit également dans ce processus qui ouvre la voie à une réflexion indispensable pour de meilleurs comportements.