vendredi 30 janvier 2015

Sauvegarde des arbres, platanes et peupliers plantés le long de nos routes

jeudi 29 janvier 2015

Un réseau qui ne fait pas l'unanimité

Nous n'avons pas la même analyse que la mairie !! Des pans entiers de désertes du transport public ont disparu notamment les arrêts (qui ont même disparu) chemin du Barrail où l'EHPAD Les Petites Sœurs des Pauvres se trouve ainsi que rue Montaigne "Après une première période de test et d'évaluation, 14 doléances écrites ont été reçues à l'agglomération. Des réponses ont déjà été apportées aux problèmes soulevés sur la desserte de l'hôpital psychiatrique, de la clinique d'Embats et de Larribère. Plusieurs améliorations vont être apportées prochainement afin, notamment, d'augmenter la fréquence de certains arrêts sur la ligne A. D'autres demandes d'usagers sont actuellement en cours d'instruction concernant notamment la desserte du quartier de La Hourre et de l'hypermarché Carrefour." DDM

La campagne éléctorale 10 690 habitants sur AUCH 1

Auch 6 590 habitants Ville-centre CA GRAND AUCH AGGLOMERATION Auch
Barran 723 habitants Rural CC VAL DE GERS Mirande
Le Brouilh-Monbert 236 habitants Rural CC VAL DE GERS Vic-Fezensac
Lasséran 355 habitants Rural CC VAL DE GERS Auch
Pavie 2 399 habitants Banlieue CA GRAND AUCH AGGLOMERATION Auch
Saint-Jean-le-Comtal 387 habitants CC VAL DE GERS

Source INSEE Population municipale 2013

vendredi 23 janvier 2015

C'est vous qui décidez de CHANGER ou non!


Le Petit Journal du vendredi 23 au jeudi 29 janvier 2015



jeudi 22 janvier 2015

AUCH 1 aux couleurs éco-citoyennes

Face aux PS Chantal Dejean-Dupèbe, conseillère sortante & Christian Laprébende, 1er adjoint au maire d'Auch puis la droite Éric Bonnet, maire de Saint-Jean-le-Comtal & Rose-Marie Miotti, le binôme Priscilla Maignaut, la benjamine & Alexis Boudaud, conseiller communautaire et élu municipal d'Auch se positionne comme alternative au PS et à la droite. 

Le Gers aura 7 élu-e-s à la Région

Languedoc Roussillon et Midi Pyrénées 158 élus
Nombre de candidats par section départementale :
Ariège6
Aude12
Aveyron10
Gard22
Haute-Garonne38
Gers7
Hérault32
Lot7
Lozère4
Hautes-Pyrénées9
Pyrénées-Orientales15
Tarn13
Tarn-et-Garonne9

mercredi 21 janvier 2015

L’Alternative, c’est le mandat écologiste…




Plus que jamais, Auch éco-citoyenne se mobilise autour de projets associatifs, citoyens et écoresponsables. La 3 ème force gersoise invite tout à chacun à suivre son engagement afin que l’investissement collectif porte enfin ses fruits.

Les derniers évènements ont suscités de nombreuses indignations et des rassemblements de masse des Auscitains. Il s’agit de continuer dans cette dynamique et de rester debout. Les citoyens désirent une nouvelle donne politique. Dans le contexte actuel, le PS et la droite sont menacés de votes sanctions. Sortir de cette alternance doit nous unir… L’alternative, c’est donc le mandat écologique… 

Priscilla MAIGNAUT (agent immobilier âgée de 27 ans) et Alexis BOUDAUD (élu Grand Auch Agglo et conseiller municipal à Auch âgé de 37 ans) proposent de relever le défi. Ces éco-citoyen-e-s auscitain-e-s sont prêts à donner un souffle nouveau au Conseil Général du Gers. Ils ont choisis, dans un premier temps, de travailler sur des sujets de fond comme ; manger LOCAL et BIO dans les collèges, réduire les impôts locaux en réduisant les déchets, bâtir un véritable réseau MAIA pour les personnes âgées, favoriser le développement économique avec la TRANSITION ECOLOGIQUE.

Lors des dernières élections municipales, de nombreux suffrages ont été portés à la candidature éco-citoyenne. Il est urgent de poursuivre dans cette dynamique afin de mettre à bas ce clivage gauche/droite. Nous sommes tous à bord du même navire, il est nécessaire voire INDISPENSABLE de tenir la barre vers un même cap.

Pour le rassemblement éco citoyen, l’un des exemples à suivre, que nous pouvons mettre en exergue, reste celui des indemnités d’élus.
Nous lançons donc un appel à TOUS les candidats des élections départementales. Pourraient-ils diminuer leurs indemnités ? En effet, il y aura PLUS de conseillers généraux gersois en 2015 que les années précédentes. Où sont donc les ECONOMIES de la réforme ? 

Les chefs de file Priscilla MAIGNAUT et Alexis BOUDAUD s’y engagent !

Enfin, d’autres territoires enrichiront leur travail d’équipe notamment sur l’Isle Jourdain, la Gascogne Auscitaine ou encore Pardiac-Rivière Basse … D’autres les rejoindront indéniablement…

Être stratège ...

  • la politique en son sens plus large, celui de civilité ou Politikos, indique le cadre général d'une société organisée et développée ;
  • plus précisément, la politique, au sens de Politeia, renvoie à la constitution et concerne donc la structure et le fonctionnement (méthodique, théorique et pratique) d'une communauté, d'une société, d'un groupe social. La politique porte sur les actions, l’équilibre, le développement interne ou externe de cette société, ses rapports internes et ses rapports à d'autres ensembles. La politique est donc principalement ce qui a trait au collectif, à une somme d'individualités et/ou de multiplicités. C'est dans cette optique que les études politiques ou la science politique s'élargissent à tous les domaines d'une société (économie, droit, sociologie, etc.) ;
  • dans une acception beaucoup plus restreinte, la politique, au sens de Politikè, ou d'art politique se réfère à la pratique du pouvoir, soit donc aux luttes de pouvoir et de représentativité entre des hommes et femmes de pouvoir, et aux différents partis politiques auxquels ils peuvent appartenir, tout comme à la gestion de ce même pouvoir.
  • la politique est le plus souvent assortie d'un épithète qui détermine sa définition : on va parler de stratégie politique1 par exemple pour expliquer comment elle se situe dans une perception combinatoire et planifiée de nature à lui faire atteindre ses objectifs.

  1.  Guy Sallat, Décider en stratège: la voie de la performance, Paris, Lharmattan,‎ 2013, 243 p.

mardi 20 janvier 2015

dimanche 18 janvier 2015

samedi 17 janvier 2015

Aux voeux du Grand Auch Agglomération ... Nous aussi on y était!


Avec Jean-claude Porte médaillé du travail le 16 janvier 2015

mardi 13 janvier 2015

Sarkozy aime la diversité en France!!


Nicolas Sarkozy oublie qu'il est filmé à la radio par Spi0n

Le 11 janvier 2015 .... ce jour historique ...


Première rencontre pour les Départementales
Claude Blancafort - Bastir
Jean-Luc Davezac, Romain Duport et Alexis Boudaud

samedi 10 janvier 2015

D'après AREVA impossible!! D'après Charlie impossible n'est pas français!



Charlie?? Favorable aux énergies fossiles?? On n'a pas lu Wolinski de la même façon!!
Wolinski pensait tout le contraire "chaque fois qu'on arrête un réacteur" et qu'on pisse sur "du gaz, du pétrole ou du charbon" c'est la nature qu'on fait revivre! Et je suis de son avis ..

jeudi 8 janvier 2015

Je suis Charlie

"Nous avons tous tué Charlie Je ne suis pas Charlie. Je ne suis ni Charb, ni Wolinski, ni les dix autres. Pourtant, 24 heures après l’attentat, j’étais aux deux rassemblements organisés à Perpignan en leur mémoire. Hier devant le Conseil général (mais que diable avait-il à voir avec le crime ?). Ce matin dans la petite rue où s’abrite le club de la presse local, trop exigüe pour accueillir la foule nombreuse venue à renforts de photocopies «Je suis Charlie». Eux comme moi pourrons dire « j’étais là ». 

Et là me reviennent les paroles de la chanson de Zazie : 
 « J'étais là en octobre 80, après la bombe de Copernic, 
Oui j'étais à la manif', avec tous mes copains. 
J'étais là, c’est vrai qu'on n’y comprenait rien Mais on trouvait ça bien, ça bien. 
Oui j'étais là pour aider pour le sida, les sans-papiers, 
J'ai chanté, j'ai chanté. Sûr que j'étais là pour faire la fête, 
Et j'ai levé mon verre à ceux qui n'ont plus rien, 
Encore un verre, on n'y peut rien. 
J'étais là, devant ma télé à 20h, j'ai vu le monde s'agiter, s'agiter. 
J'étais là, je savais tout de la Somalie, du Bangladesh et du Rwanda, 
J'étais là. J'ai bien vu le sort que le nord réserve au sud, bien compris le mépris, 
J'étais là pour compter les morts. J'étais là, et je n'ai rien fait, 
Et je n'ai rien fait. J'étais là pourtant, j'étais là, 
Et je n'ai rien fait, je n'ai rien fait. » 

 Voilà, j’étais là. Et puis les manifestants de tous bords ont entonné la Marseillaise. Répondre au sang par l’appel au sang : « Aux armes citoyens… Qu’un sang impur abreuve nos sillons ». Alors j’ai eu envie de pleurer et je suis parti. Parce que cet attentat n’est pas un crime contre la France, mais un crime contre la Liberté. Parce que Charlie n’aimait pas les accents guerriers de la Marseillaise dont il s’est au moins autant moqué que des dérives religieuses en général, et pas uniquement de l’islamisme. Parce que depuis hier, je vois sur les réseaux sociaux et j’entends à la radio des tas de gens se réclamer de Charlie et exiger le retour de la peine de mort, stigmatiser l’Islam à tel point que ses représentants se sentent obligés de s’excuser. Tous ces gens qui pour la plupart n’ont jamais lu ni un Hara-Kiri, ni un Charlie Hebdo. Tous ces gens qui, finalement, ne connaissaient au mieux que Cabu quand il dessinait au Club Dorothée… Parmi eux, combien se sont insurgés lorsque les locaux de Charlie Hebdo ont été incendiés en 2011 ? Combien ne s’informent que devant BFM TV ou TF1 ? Combien font partie des 25% qui ont voté FN aux dernières élections européennes ? 

Depuis des années, les médias font la part belle à des Zemmour et des Le Pen. Ah le danger de l’Islamisation de notre douce France… On les écoute, persuadés que finalement « ils disent pas que des conneries », on achète leurs livres, on vote pour eux… Après tout, les autres sont « tous pourris », incompétents, carriéristes… Comme si les résistants, les idéalistes, les humanistes et les libertaires étaient des races à jamais disparues. 
Comme pour l’affaire Mehra, la Police a fait un travail incroyable. A peine l’attentat commis, on connaissait le nom des coupables. Il parait même que l’un d’eux avait « oublié » sa carte d’identité dans la voiture des bourreaux… Qu’est-ce que c’est con un terroriste ! Bientôt (peut-être même pendant que j’écris ces lignes), on les trouvera. Il y aura une fusillade et ils y resteront. Chacun pourra alors retourner devant sa télé en se disant que Justice est faite et s’inquiètera des nouvelles aventures de Nabila ou de Valérie Trierweiler… 
Personne ne se posera la question du « pourquoi ». Oui, pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Personne ne se posera la question parce qu’on nous a déjà donné la réponse : l’islamisme. Et si nous étions les véritables coupables ? Dans « L’Insoutenable légèreté de l’être », Kundera (qui a vécu l’invasion des chars soviétiques dans son pays, la Tchécoslovaquie) écrivait « le pire crime est l’ignorance ». Nous sommes tous coupables parce que nous ignorons la réalité, nous ignorons l’Histoire ou, pire, nous préférons l’ignorer. 

 Je suis devenu journaliste en 1994. J’avais 25 ans et je rêvais un jour d’écrire l’équivalent du « J’accuse » de Zola. Je croyais en la liberté de la presse, ce fameux « quatrième pouvoir ». J’ai vite déchanté, comprenant que dans les grands médias, les journalistes ne sont que des salariés au service des véritables patrons de leur journal, de leur radio, de leur chaine de télévision : grands industriels, marchands d’armes, financiers, politiciens bien assis… Et que ces salariés perdent leur boulot s’ils ne sont pas aux ordres. Non, la presse en général n’est plus libre depuis longtemps, à part quelques bastions de résistance dont la visibilité est réduite au maximum. Charlie est l’un de ces rares bastions. Charb et les autres étaient de ceux qui refusaient qu’on leur dicte les mots à écrire, les sujets à traiter et à défendre, bref qu’on les oblige à passer la brosse à reluire. J’aurais pu monter au créneau, dénoncer ce système infâme qui ne conduit qu’à la désinformation, à la lobotomisation des esprits, les dictant malgré eux à acheter tel ou tel produit, qu’il s’agisse d’un I-phone ou d’une idée malsaine. Je l’ai juste fait dans mon coin, j’ai lutté pour ma propre liberté d’expression, parfois pour celle d’un collègue, et puis j’ai jeté l’éponge, comme un boxeur au bord du KO, et j’ai quitté la profession alors que j’aurais dû repartir sur le ring et défendre cette fameuse liberté d’expression que l’on nous sert désormais à toutes les sauces. 

Au nom de la liberté d’expression, on peut appeler à la haine mais on a de plus en plus de mal à la dénoncer. Quelle honte. « Nous sommes Charlie… Qu’un sang impur abreuve nos sillons »… Non, désolé, je ne m’en remets pas. C’est en confondant tout et n’importe quoi que nous sommes tous responsables de l’attentat d’hier. Parce que nous avons laissé le FN se dédiaboliser alors qu’il défend les mêmes idées et applique les mêmes stratégies que les partis fascistes des années 1930. Parce que nous confondons le conflit israélo-palestinien avec une guerre de religion alors qu’il s’agit d’une guerre coloniale. Parce que depuis le 11 septembre 2001, nous ne regardons plus les arabes de la même manière. Parce que nous avons substitué le mot « solidarité » par le mot « assistanat ». Parce que nous sommes incapables de regarder plus loin que notre petit confort. Parce qu’on a peur pour nos retraites vu que nos impôts seraient dilapidés dans les aides sociales distribuées à des faignasses bronzées. Parce que quand Sarkozy, Balkany et tant d’autres détournent des millions d’euros, on les réélit quand même. Parce que quand Depardieu s’exile en Russie en affirmant que Poutine est un grand démocrate, on dit qu’il a bien raison de ne plus payer ses impôts en France. Parce que ceux qui veulent la tête des « bougnoules » oublient que leurs ancêtres furent traités de « ritals », « d’espingouins », de « polaks », de « portos », etc. 

 Oui, les véritables terroristes, c’est bien nous. Nous nous sommes laissés entrainer dans un individualisme forcené qui nous conduit à chercher des boucs-émissaires partout. SDF, Roms, musulmans… Ce matin, sur Facebook, un homme (que je ne connais pas) arborait le fameux « Je suis Charlie » tout en écrivant « Si les terroristes sont capturés, la mère « Teub ira » les fera libérer et on leur paiera le billet d’avion pour repartir au djihad avec le RSA et la carte vitale ». Non, ce n’était pas une blague… Bref, j’étais là hier et ce matin. Et tout ce que j’arrive à faire, c’est prendre ma plume. Une plume désenchantée. Quel paradoxe pourtant ! Je devrais me réjouir qu’à Perpignan (seule ville française à commémorer chaque année les morts de l’OAS qui, rappelons-le, étaient des terroristes…), un monde fou soit venu manifester son indignation. Si nous avions été une poignée, comme lors de la mort de Clément Méric, j’aurais hurlé ma colère. Mais la question que je me pose, c’est pourquoi étaient-ils là ? Et la réponse me terrifie. J’ai peur que ce drame soit à nouveau détourné pour cracher sur l’Islam, ou plutôt sur les arabes en général puisque personne ne fait plus la différence, comme si tous les blancs étaient des cathos intégristes… Charlie Hebdo se moquait avec férocité de l’Islamisme, parfois même de l’Islam, comme il se moquait de toutes les religions, en bon anarchiste anticlérical qu’était (et sera toujours) ce journal. J’ai peur que la violence succède à la violence, du moins pendant quelques jours (une actu chassant l’autre, les gens oublieront vite). Que des innocents soit agressés ou tués parce qu’ils sortent d’une mosquée ou qu’ils boivent un thé à la menthe au lieu d’un Ricard. Peur que ceux qui profitent de ces crimes soient ceux qui se réjouissent à la fois des morts de Charlie Hebdo et de la stigmatisation de l’Islam, je veux parler de l’extrême-droite et de ses proches. Nul doute que du côté de Saint-Cloud ou de Millas, hier on a sabré le champagne… Alors que faire ? Lire, réfléchir, s’informer, ouvrir les yeux, réapprendre à se servir de son sens critique, échanger, essayer de comprendre l’autre au lieu de le juger. Ce n’est pas de l’angélisme, juste le seul moyen d’assurer le véritable fonctionnement d’une démocratie et, par conséquent, de sauvegarder nos libertés." Axel Belliard

 ©EC(H)O - Christian Bès & Ville d'Auch

jeudi 1 janvier 2015

Excellente année 2015


Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir,
et l'envie furieuse d'en réaliser quelques-uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer,
et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions. 

Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil
et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement, 
à l'indifférence, 
aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d'être vous.
Jacques Brel