mardi 29 octobre 2013

vendredi 25 octobre 2013

Et ils en sont fiers!

mercredi 23 octobre 2013

Dur dur d'être écologiste !


http://www.yves-paccalet.fr/2013/10/16/pourquoi-je-quitte-europe-ecologie-les-verts
Coup sur coup, la démission de Noël Mamère et le retrait de Pascal Durand de la direction donnent un caractère aigu et spectaculaire à la crise d’Europe Écologie - les Verts.

Les questions de fonctionnement, de démocratie, d’ambitions personnelles… jouent évidemment un rôle dans cette crise. Mais la réduire à cette seule dimension serait une erreur. Ce qui revient de manière récurrente, c’est l’impossibilité d’introduire un tant soit peu de préoccupations sociales et écologiques dans la politique du gouvernement. La tension entre la participation au gouvernement et le maintien d’un minimum d’exigences concrètes sur la transition énergétique, la sortie du nucléaire, l’agrobiologie ou la biodiversité, est devenu insoutenable. Or la fraction dominante d’EELV passe son temps à trouver des raisons de se rassurer elle-même sur la possibilité et l’utilité de rester au gouvernement.
Cette dernière séquence a débuté le 15 septembre avec l’intervention de Pascal Durand, encore secrétaire national, donnant « 6 jours au gouvernement pour (nous) dire ce que va vraiment être la transition énergétique », tirant un sombre bilan : « l’écologie a reculé depuis un an », « on se moque de nous, on nous ment », avant de conclure : « je ne serai pas le secrétaire national des renoncements écologistes. » Noël Mamère est encore plus précis : « l’heure de vérité pour les écologistes au gouvernement sonne au moment du budget. On y est et la vérité apparaît toute nue. À se soumettre et à chercher des arrangements, il ne faudra pas s’étonner si notre électorat nous couvre de goudron et de plumes »...

Se mobiliser... et débattre

La contribution climat énergie qui avait tant enthousiasmé EELV cet été se soldera par un bilan sans appel : en 2016, sur les 4 milliards d’euros qu’elle devrait rapporter, 3 milliards financeront le crédit d’impôt compétitivité. Il ne restera plus qu’un milliard pour la transition énergétique. Cherchez l’erreur !
Ni la transition écologique ni la justice sociale ne sont compatibles avec le soutien ou la participation à ce gouvernement. Celles et ceux qui veulent défendre l’une et l’autre doivent en tirer les conclusions. Eva Joly propose une « nouvelle majorité » initiée par EELV, les « socialistes hétérodoxes » et le Front de gauche. Le PG répond « Chiche ! ». Les uns et les autres font semblant d’ignorer qu’au sein d’EELV comme au sein du FdG, il est loin d’y avoir unanimité pour s’opposer au gouvernement et combattre le productivisme.
En revanche, la toute première urgence est de construire des mobilisations unitaires, pour engager immédiatement la sortie du nucléaire, la fermeture de Fessenheim, Tricastin, Bugey…, pour imposer l’interdiction de toute nouvelle exploitation d’hydrocarbures conventionnels ou non, pour l’arrêt de tous les grands projets inutiles imposés à Notre-Dame-des-Landes comme ailleurs…

lundi 21 octobre 2013

Le monde de la caricature politique

Druet à Castelnaudary (2011)
Maëster à Eauze (2009)
Pascal Merlin à Auch (au siècle dernier)
Couverture Facebook de Pascal Merlin (2013)

dimanche 20 octobre 2013

Antonio Oller avait témoigné lors des Journées de l'Europe en 2005

Le centre culturel espagnol a rendu vendredi soir, un hommage à Antonio Oller, décédé au mois d’août dernier à l’âge de 93 ans. «Notre ami fut un artisan important, parmi d’autres, de l’ouverture et de la gestion du centre culturel» explique Maurice Burg Galvan. Vendredi soir, une vidéo retraçant la vie de ce réfugié espagnol exemplaire a été projetée avant que l’assemblée ne se retrouve autour d’un verre et de tapas «ainsi que l’aurait voulu Antonio». «Avec sa disparition se tourne une des dernières pages de la IIe République espagnole, pouvait-on lire dans notre édition du 31 août 2013. Toute sa famille s’était installée dans le Gers au lendemain de la victoire du franquisme. Cette période l’avait à jamais marqué et chaque fois qu’il en parlait renforçait ses profondes convictions humanistes. Il se souvenait très bien du 14 avril 1931… La République était proclamée. Il avait 12 ans. Du haut du balcon de la maison familiale, son père l’avait appelé pour l’empêcher de se joindre à une manifestation. Chez lui, une famille de bourgeois aux idées progressistes, disait-il, c’était l’euphorie et la joie. Au moment du coup d’Etat de 1936, il racontait qu’il avait sûrement vu la première église incendiée à Madrid. Des gens avaient tiré depuis le clocher sur un groupe d’ouvriers armés qui passait dans la rue. Ils avaient riposté et incendié le sanctuaire. Quelques mois plus tard, il décide de s’engager. Trop jeune pour monter au front, il est envoyé à Albacete pour participer à l’accueil des premières Brigades internationales. Son baptême du feu à Madrid, lors des combats de la Casa del Campo puis dans la sierra de Guadarrama… A Auch, en quelques années, il était devenu le comptable et responsable financier d’une grosse maison de commerce de viande. Il aimait la corrida, surtout à Vic où sa famille était installée, et il adorait le football, surtout si jouait le Real Madrid dont il avait été un des tout premiers sociétaires.» Vendredi, toute cette mémoire a été de nouveau évoquée par ses amis auscitains. 
La Dépêche du Midi

vendredi 18 octobre 2013

" Je n’ai pas besoin de loi [ sur le cumul des mandats ] pour me l’imposer. "

« Sud Ouest ». Quelles sont les raisons qui vous poussent à ne pas courir après un troisième mandat de maire ?

Michel Sanroma [ maire de Vic Fezensac]. Le cumul des mandats, tant dans l’espace que dans le temps, est impossible à pratiquer de façon honnête. En tant que directeur de services administratifs de collectivités, j’ai souvent travaillé avec des élus qui cumulaient. Je n’ai jamais trouvé, parmi eux, de surhommes capable d’assumer pleinement toutes leurs fonctions. Je n’y crois pas et ce que ma raison me dicte, je n’ai pas besoin de loi pour me l’imposer.

jeudi 17 octobre 2013

lundi 14 octobre 2013

Le film de Katell Quillévéré "Suzanne" en avant-première au Festival Indépendance(s) et Création a fait l'unanimité

Fleurance a accueilli sa première exposition sur l'histoire postale lors de la Fête du Timbre








Samedi 12 et dimanche 13 octobre 2013, le sénateur maire Raymond Vall accueillait l’association Philajeune qui présentait pour la première fois la Fête du timbre à Fleurance.
C’est le président Alexis Boudaud qui ouvre la série des discours pour présenter son association mais aussi les séries remarquables et inédites des timbres sur Fleurance, Lectoure, le Gers et des collections dont Jules Vernes par Stéphane Oger ; ou encore sur St Saint-Pétersbourg et l’aviation russe, par le fleurantin Pierre Bligny. Ce dernier précise que son père avait commencé les recherches depuis fort longtemps, il ne fait que poursuivre son travail. Puis le sénateur maire livre un petit historique sur le timbre, faisant remarquer que cette première manifestation philatélique à Fleurance sur le thème de l’air est en liaison avec l’ACO, le festival d’Astronomie et les activités autour du ciel et de l’espace. L’élu a présnté le Dr Bernard Comte, Lectourois qui possède une superbe collection sur les marques postales de notre ville. «Le timbre fait rêver, voyager et découvrir bien des joies, et permet des échanges» dit-il avant de remettre des diplômes d’honneur à Stéphane Oger, Alain Boudaud, Bernard Magnat, Robert Prost, Jean Jacques Zamo et Bernard Comte.
Fabrice Thomas, directeur régional Communication de la Poste, a parlé de cette exposition, centré sur l’air. «Le carnet de timbres le décline sous toutes ses formes : enfermé dans une bouteille jetée à la mer, il permet le transport de message à travers les océans, soufflé dans un instrument de musique il crée une douce mélodie, présent autour de nous, il permet au voilier de voguer, au deltaplane de voler à l’éolienne de créer une énergie nouvelle… Chauffé, il fut le premier à permettre aux hommes de s’élever dans le ciel et de se rêver oiseaux. C’est pourquoi la Poste a choisi de célébrer l’air à travers plusieurs timbres illustrés de montgolfières.» DDM

mercredi 9 octobre 2013

Cohn Bendit, Noël Mamère et même en région Philippe Goirand ... jusqu'à quand saignerons-nous EELV?

Philippe Goirand: Il faut tourner la page.: «Il faut tourner la page Changer de paysage 
Le pied sur une berge 
Vierge...» (Claude Nougaro) En 2008, le vélo m’est apparu comme...

lundi 7 octobre 2013

A Auch, on loue les monnaies complémentaires nées à Bayonne ou ce week-end même à Arbas




Alors que le succès de l'eusko s'est confirmé lors du Forum Alternatiba à Bayonne et que le village d'Arbas a adopté " La Touselle ", Auch Eco Citoyenne fait parler d'elle et de sa future monnaie locale! 
http://www.sudouest.fr/2013/10/07/par-ici-la-monnaie-1190987-2277.php

dimanche 6 octobre 2013

La petite reine règne à Auch


Dixième anniversaire des journées organisées par l'Union cyclotouriste auscitaine où sont présentés VTT, vélos de course, d'enfant, de ville, d'appartement, bicross, tandems, tous d'occasion à la salle du Mouzon.
La traditionnelle bourse aux vélos d'occasion a permis à de nombreux deux-roues de retrouver une nouvelle jeunesse. D'autant que les projets de la municipalité participent à valoriser la petite reine et de nouveaux itinéraires pour le "mieux-vivre" à Auch.

jeudi 3 octobre 2013

La sécurité c'est l'affaire de tous!

La ville d'Auch connaît comme beaucoup de centres urbains des problèmes d’insécurité : l’exemple de l’augmentation des cambriolages dans notre ville est édifiant. Il y a quelques semaines, le commerce de restauration installé rue Gambetta fermait ses portes après deux cambriolages dont il a été victime. La coupe est pleine pour tous. Réponse de la municipalité d'Auch : la création d’un nouveau service municipal dit "de tranquillité publique" avec à la clef une police municipale dotée de cinq agents. 

Cette démarche est aujourd'hui critiquée par l'association des commerçants auscitains qui sollicite une vidéosurveillance en ville. Ces moyens sont-ils véritablement efficaces pour rendre plus sûre notre ville? Pour mieux-vivre? Nous sommes surpris de la manière de procéder. La sécurité est un domaine complexe qui engage de nombreux acteurs. Pourquoi avoir créé un tel service sans aucune concertation avec les principaux acteurs concernés, les auscitains eux-mêmes et la Police Nationale ? Pourquoi tant de précipitation ? Les élections en seraient-elles la cause ? 

Une police municipale de proximité, non armée, formée aux techniques de la médiation, dans tous les quartiers et complémentaire de la Police Nationale peut être une solution mais la sécurité est l’affaire de tous ! Les auscitains ont le droit d'être associé à une telle politique de la ville. C'est même le devoir du premier magistrat de rendre possible une co-construction. Il est indispensable que les acteurs concernés puissent débattre collectivement de ces enjeux majeurs de notre vivre ensemble.

mercredi 2 octobre 2013

Municipales 2014 ça s'affole!

La Dépêche du Midi a annoncé le 30 septembre dernier : "À Auch, le maire socialiste sortant Franck Montaugé est archi-favori face à une droite divisée. A la liste divers droite de l’opposition sortante s’ajoute une liste UMP" 

Pour Sud Ouest même sonne de cloche [...] "pas de surprise, Franck Montaugé prétendra à un second mandat. Député depuis le départ de Philippe Martin au ministère de l’Écologie, le maire devra se préparer aux attaques sur le cumul". Effectivement le cas du député-maire d'Auch, en cumul des mandats, va poser quelques soucis au PS. Une situation incongrue quand on lit les propos de Michaël Aurora, secrétaire départemental PS, en février dernier, (bien sûr) avant la nomination de Philippe Martin comme ministre de l'écologie : " Moi je suis fermement contre le cumul des mandats. Quand la loi aura été votée, il n’y aura pas d’alternative. " ... un jeu de langage qui lui est plutôt défavorable quand on sait que le loi est déjà votée, applicable certes en 2017 (voilà l'alternative qui sauve les cumulards) mais quand l'on croit à la vertu du non-cumul, rien n'empêche qu'on s'y plie au plus tôt.