De son côté, Claude Onesta se définit comme « un homme de gauche », qui tient à « garder de la distance » avec le milieu de la politique. Mais il n'exclut pas « s'engager un jour ou l'autre », pour « faire bénéficier de [son] expérience ». Et si le sport n'est pas l'une des priorités des politiques régionales, que pensent les deux cousins du soutien à l'organisation des Jeux Olympiques d'hiver dans les Pyrénées en 2022, que défendent les listes concurrentes ? Pour Gérard, qui « craint que l'on siphonne le budget public pour ça, c'est un gag, du bling-bling » ; Claude, qui défend « une relation passionnelle à l'olympisme », considère « que ça n'a aucun sens si c'est juste un effet d'annonce. Dans le cas contraire, c'est un dossier qui peut être intéressant et prolifique ».
Retour aux origines (sur le cas Emmanuel Macron)
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La mémoire n’existe pas. Faut-il dire qu’elle n’existe plus ? Elle a
toujours été incertaine et fragile, martyrisée au passage par l’idéologie –
dans ce do...
Il y a 5 heures
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