De gauche à droite : Sous les chapiteaux de Welcome In Tziganie - musiques et gourmandises, le groupe des échanges européens, Davaï et danses d'ailleurs
Trois jours intenses où conférences, débats, jeux, expositions, musiques, danses et rencontres ont eu lieu à Auch ... Une magie venue des balkans et d'ailleurs ... un souflle de vie ... un bonheur partagé! http://www.welcome-in-tziganie.com/p/programmes.html
Les organisateurs de Welcome in Tziganie n'ont pas eu de chance avec la météo. Et pourtant, le chapiteau a fait le plein, à Endoumingue. Retour sur deux folles soirées.
Florian Calvez et les bénévoles de Welcome in Tziganie peuvent avoir le sourire. Avec l'orage, les festivaliers se sont serré les coudes sous le chapiteau d'Endoumingue vendredi soir. Et ils n'ont pas eu à le regretter avec trois concerts mémorables.
Heureusement, le ciel était un peu plus clément samedi soir. Et là, le chapiteau était carrément plein à craquer. Cerise sur le gâteau, le public a mis le feu, répondant avec fougue aux musiciens qui se sont donnés à 200 % sur scène.
De l'avis général, Davaï a cartonné avec ses chansons russes et tziganes. Parno Graszt a joliment passé le relais aux copains hongrois de Besh o Drom. Et la soirée s'est terminée en apothéose.
Enfin réveillé, hier à 17 heures, Philippe en était encore tout émoustillé, regrettant à l'évidence sa nuit blanche : « ça sautait et ça dansait de partout avec des gens d'âge très différent. Vraiment, c'était un super festival ! » Les organisateurs apprécieront. La Dépêche du Midi
Florian Calvez et les bénévoles de Welcome in Tziganie peuvent avoir le sourire. Avec l'orage, les festivaliers se sont serré les coudes sous le chapiteau d'Endoumingue vendredi soir. Et ils n'ont pas eu à le regretter avec trois concerts mémorables.
Heureusement, le ciel était un peu plus clément samedi soir. Et là, le chapiteau était carrément plein à craquer. Cerise sur le gâteau, le public a mis le feu, répondant avec fougue aux musiciens qui se sont donnés à 200 % sur scène.
De l'avis général, Davaï a cartonné avec ses chansons russes et tziganes. Parno Graszt a joliment passé le relais aux copains hongrois de Besh o Drom. Et la soirée s'est terminée en apothéose.
Enfin réveillé, hier à 17 heures, Philippe en était encore tout émoustillé, regrettant à l'évidence sa nuit blanche : « ça sautait et ça dansait de partout avec des gens d'âge très différent. Vraiment, c'était un super festival ! » Les organisateurs apprécieront. La Dépêche du Midi
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