C’est le mariage entre une vieille habitude et un protocole encore tout frais. Quand Philippe Martin progresse au milieu d’une vigne ancestrale du Gers, le département où il s’est ancré politiquement il y a vingt ans, les apostrophes pleuvent à la deuxième personne du singulier avant d’être mâtinées de déférence. «Comment tu vas, Monsieur le ministre ?» s’enquièrent les bérets noirs de Sarragachies, les amis de Marciac ou les commerçants d’Auch. En poste depuis un mois pile ...
samedi 3 août 2013
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