Et pour le dernier conseil municipal de l’année, une allure de vacances.
Je n’ai rien préparé ! Rien de rien !
D’ailleurs, j’avais décidé de ne pas y aller ;
sauf que mon collègue m’a donné « Procuration » ;
Donc, je me suis sentie obligée d’y assister!
J’ai mis dans mon sac, les dossiers :
- 22 centimètres !
Oui, 22 centimètres de documents…
- les comptes administratifs, le BS –Budget supplémentaire,
- les pièces annexes, les conventions, les ceci-cela.
22 centimètres de papier écrit recto-verso, que j’ai fourré à grand peine dans mon sac, avec quelques feuilles et trois stylos.
22 centimètres … et je me suis découragée.
Rien lu donc rien à écrire, encore moins à dire…
Je crois que ce conseil-là était de trop. Pas top !
Pour les prises de position – faute de prise de paroles, je me suis abstenue !
J’aurais mieux fait de m’abstenir… M’abstenir d’y aller !
La séance s’est terminée à une heure du matin.
Et je ne m’en suis même pas rendue compte…
Lors d’une suspension de séance, vers 23 heures, je suis sortie de la salle, je suis descendue sur la place de la Mairie ; j’y suis restée. A discuter. Avec un Politique, avec un non élu, pas obligé, lui, de siéger.
Voilà encore quelques mois, j’aurais analysé la situation, posé des hypothèses :
- Ce Politique est aimable, que vise-t-il, qu’attend-il ?
- Ce Politique cherche des informations (comme si j’en avais, d’ailleurs !)
- Ce Politique me retient par le truchement d’une discussion sympathique, le Maire en profite peut-être en séance, pour souligner mon absence…
Ai-je perdu ma méfiance ? J’en doute.
Ai-je atteint un point de rupture ? Je le crains.
Au conseil municipal de ma ville, je ne lève plus la main pour voter les délibérations….
Je n’ai rien préparé ! Rien de rien !
D’ailleurs, j’avais décidé de ne pas y aller ;
sauf que mon collègue m’a donné « Procuration » ;
Donc, je me suis sentie obligée d’y assister!
J’ai mis dans mon sac, les dossiers :
- 22 centimètres !
Oui, 22 centimètres de documents…
- les comptes administratifs, le BS –Budget supplémentaire,
- les pièces annexes, les conventions, les ceci-cela.
22 centimètres de papier écrit recto-verso, que j’ai fourré à grand peine dans mon sac, avec quelques feuilles et trois stylos.
22 centimètres … et je me suis découragée.
Rien lu donc rien à écrire, encore moins à dire…
Je crois que ce conseil-là était de trop. Pas top !
Pour les prises de position – faute de prise de paroles, je me suis abstenue !
J’aurais mieux fait de m’abstenir… M’abstenir d’y aller !
La séance s’est terminée à une heure du matin.
Et je ne m’en suis même pas rendue compte…
Lors d’une suspension de séance, vers 23 heures, je suis sortie de la salle, je suis descendue sur la place de la Mairie ; j’y suis restée. A discuter. Avec un Politique, avec un non élu, pas obligé, lui, de siéger.
Voilà encore quelques mois, j’aurais analysé la situation, posé des hypothèses :
- Ce Politique est aimable, que vise-t-il, qu’attend-il ?
- Ce Politique cherche des informations (comme si j’en avais, d’ailleurs !)
- Ce Politique me retient par le truchement d’une discussion sympathique, le Maire en profite peut-être en séance, pour souligner mon absence…
Ai-je perdu ma méfiance ? J’en doute.
Ai-je atteint un point de rupture ? Je le crains.
Au conseil municipal de ma ville, je ne lève plus la main pour voter les délibérations….
Je crois que j’ai baissé les bras…
une forme de démission, qui ne dit pas son nom.
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