Seulement quatre jours après sa sortie de la clandestinité, Aurore Martin est actuellement victime d’une opération policière extrêmement violente visant à l’arrêter. Pour l’instant, des militants ont réussi à s’interposer, mais la situation pourrait basculer d’un moment à l’autre.
Sous le coup d’un Mandat d’arrêt européen depuis novembre dernier, elle avait jusqu’ici décidé de se cacher pour échapper à cette terrible sentence. On le sait, le sort réservé aux prisonniers politiques de l’autre côté de la frontière n’est pas des plus enviables.
Les autorités ont décidé d’ignorer les mobilisations répétées, au Pays basque mais aussi à l’échelle européenne, des citoyens et élus indignés par cette décision inique. Samedi encore, des milliers de citoyens, de tout bord politique, se sont réunis à Biarritz pour dénoncer cette utilisation abusive et pervertie du Mandat d’arrêt européen.
Avec l’arrestation d’Aurore Martin, c’est non seulement le Mandat d’arrêt qui est totalement détourné de son objectif premier, mais aussi les libertés d’opinion et d’expression, fondements même de notre démocratie, qui sont bafouées. Voici encore une sérieuse entrave à l’établissement d’une paix durable au Pays Basque.
Nous resterons mobilisés pour que justice soit faite !
Catherine Grèze
Députée européenne du Sud Ouest
Sous le coup d’un Mandat d’arrêt européen depuis novembre dernier, elle avait jusqu’ici décidé de se cacher pour échapper à cette terrible sentence. On le sait, le sort réservé aux prisonniers politiques de l’autre côté de la frontière n’est pas des plus enviables.
Les autorités ont décidé d’ignorer les mobilisations répétées, au Pays basque mais aussi à l’échelle européenne, des citoyens et élus indignés par cette décision inique. Samedi encore, des milliers de citoyens, de tout bord politique, se sont réunis à Biarritz pour dénoncer cette utilisation abusive et pervertie du Mandat d’arrêt européen.
Avec l’arrestation d’Aurore Martin, c’est non seulement le Mandat d’arrêt qui est totalement détourné de son objectif premier, mais aussi les libertés d’opinion et d’expression, fondements même de notre démocratie, qui sont bafouées. Voici encore une sérieuse entrave à l’établissement d’une paix durable au Pays Basque.
Nous resterons mobilisés pour que justice soit faite !
Catherine Grèze
Députée européenne du Sud Ouest
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