lundi 21 octobre 2013

Le monde de la caricature politique

Druet à Castelnaudary (2011)
Maëster à Eauze (2009)
Pascal Merlin à Auch (au siècle dernier)
Couverture Facebook de Pascal Merlin (2013)

dimanche 20 octobre 2013

Antonio Oller avait témoigné lors des Journées de l'Europe en 2005

Le centre culturel espagnol a rendu vendredi soir, un hommage à Antonio Oller, décédé au mois d’août dernier à l’âge de 93 ans. «Notre ami fut un artisan important, parmi d’autres, de l’ouverture et de la gestion du centre culturel» explique Maurice Burg Galvan. Vendredi soir, une vidéo retraçant la vie de ce réfugié espagnol exemplaire a été projetée avant que l’assemblée ne se retrouve autour d’un verre et de tapas «ainsi que l’aurait voulu Antonio». «Avec sa disparition se tourne une des dernières pages de la IIe République espagnole, pouvait-on lire dans notre édition du 31 août 2013. Toute sa famille s’était installée dans le Gers au lendemain de la victoire du franquisme. Cette période l’avait à jamais marqué et chaque fois qu’il en parlait renforçait ses profondes convictions humanistes. Il se souvenait très bien du 14 avril 1931… La République était proclamée. Il avait 12 ans. Du haut du balcon de la maison familiale, son père l’avait appelé pour l’empêcher de se joindre à une manifestation. Chez lui, une famille de bourgeois aux idées progressistes, disait-il, c’était l’euphorie et la joie. Au moment du coup d’Etat de 1936, il racontait qu’il avait sûrement vu la première église incendiée à Madrid. Des gens avaient tiré depuis le clocher sur un groupe d’ouvriers armés qui passait dans la rue. Ils avaient riposté et incendié le sanctuaire. Quelques mois plus tard, il décide de s’engager. Trop jeune pour monter au front, il est envoyé à Albacete pour participer à l’accueil des premières Brigades internationales. Son baptême du feu à Madrid, lors des combats de la Casa del Campo puis dans la sierra de Guadarrama… A Auch, en quelques années, il était devenu le comptable et responsable financier d’une grosse maison de commerce de viande. Il aimait la corrida, surtout à Vic où sa famille était installée, et il adorait le football, surtout si jouait le Real Madrid dont il avait été un des tout premiers sociétaires.» Vendredi, toute cette mémoire a été de nouveau évoquée par ses amis auscitains. 
La Dépêche du Midi

vendredi 18 octobre 2013

" Je n’ai pas besoin de loi [ sur le cumul des mandats ] pour me l’imposer. "

« Sud Ouest ». Quelles sont les raisons qui vous poussent à ne pas courir après un troisième mandat de maire ?

Michel Sanroma [ maire de Vic Fezensac]. Le cumul des mandats, tant dans l’espace que dans le temps, est impossible à pratiquer de façon honnête. En tant que directeur de services administratifs de collectivités, j’ai souvent travaillé avec des élus qui cumulaient. Je n’ai jamais trouvé, parmi eux, de surhommes capable d’assumer pleinement toutes leurs fonctions. Je n’y crois pas et ce que ma raison me dicte, je n’ai pas besoin de loi pour me l’imposer.

jeudi 17 octobre 2013

lundi 14 octobre 2013

Le film de Katell Quillévéré "Suzanne" en avant-première au Festival Indépendance(s) et Création a fait l'unanimité

Fleurance a accueilli sa première exposition sur l'histoire postale lors de la Fête du Timbre








Samedi 12 et dimanche 13 octobre 2013, le sénateur maire Raymond Vall accueillait l’association Philajeune qui présentait pour la première fois la Fête du timbre à Fleurance.
C’est le président Alexis Boudaud qui ouvre la série des discours pour présenter son association mais aussi les séries remarquables et inédites des timbres sur Fleurance, Lectoure, le Gers et des collections dont Jules Vernes par Stéphane Oger ; ou encore sur St Saint-Pétersbourg et l’aviation russe, par le fleurantin Pierre Bligny. Ce dernier précise que son père avait commencé les recherches depuis fort longtemps, il ne fait que poursuivre son travail. Puis le sénateur maire livre un petit historique sur le timbre, faisant remarquer que cette première manifestation philatélique à Fleurance sur le thème de l’air est en liaison avec l’ACO, le festival d’Astronomie et les activités autour du ciel et de l’espace. L’élu a présnté le Dr Bernard Comte, Lectourois qui possède une superbe collection sur les marques postales de notre ville. «Le timbre fait rêver, voyager et découvrir bien des joies, et permet des échanges» dit-il avant de remettre des diplômes d’honneur à Stéphane Oger, Alain Boudaud, Bernard Magnat, Robert Prost, Jean Jacques Zamo et Bernard Comte.
Fabrice Thomas, directeur régional Communication de la Poste, a parlé de cette exposition, centré sur l’air. «Le carnet de timbres le décline sous toutes ses formes : enfermé dans une bouteille jetée à la mer, il permet le transport de message à travers les océans, soufflé dans un instrument de musique il crée une douce mélodie, présent autour de nous, il permet au voilier de voguer, au deltaplane de voler à l’éolienne de créer une énergie nouvelle… Chauffé, il fut le premier à permettre aux hommes de s’élever dans le ciel et de se rêver oiseaux. C’est pourquoi la Poste a choisi de célébrer l’air à travers plusieurs timbres illustrés de montgolfières.» DDM