Une question d'actualité agite le monde politique depuis le début de l'automne ... la résilience de nos villes face aux évolutions indéniables de nos pratiques quotidiennes. Toulouse s'agite et Europe Ecologie Les Verts par la voix d'Antoine Maurice ou Régis Godec met les points sur les i ...
Il est temps de voir les choses différemment loin de la mutiplication des flux ou des autoroutes miraculeuses (l'arrêt du projet d'autoroute Toulouse-Castres reste la priorité dans l'accord gouvernemental 2012!) ... un mot d'ordre : la sobriété vers le bien commun!
La Transition est une méthodologie qui permet d’augmenter la résilience des villes face à la crise majeure que l'on attend dans quelques années suite au pic pétrolier. La résilience peut être définie comme la capacité à encaisser des chocs sans cesser de fonctionner. Les populations locales (c’est nous…) sont invitées à créer un avenir meilleur et moins vulnérable devant les crises écologiques, énergétiques et économiques qui menacent en agissant dès maintenant pour :
-réduire la consommation d'énergie fossile ;
-reconstruire une économie locale vigoureuse et soutenable et retrouver un bon degré de résilience par la relocalisation de ce qui peut l'être ;
-acquérir les qualifications qui deviendront nécessaires.
Chaque collectivité locale trouvera par elle-même les actions qui lui conviennent en fonction de ses ressources et de ses enjeux. Il n'y a pas de réponse toute faite. Pourquoi agir localement ?
- parce que l'économie devra inévitablement se relocaliser en grande partie ;
- parce que c'est le niveau auquel les citoyens peuvent inventer des solutions bien adaptées à leur réalité et passer à l'action;
- parce que c'est souvent près de nous que se trouvent les gens, les ressources et les solidarités pour agir.
Le mouvement de Transition est né en Grande-Bretagne en septembre 2006 dans la petite ville de Totnes. L'enseignant en permaculture Rob Hopkins avait créé le modèle de Transition avec ses étudiants dans la ville de Kinsale en Irlande un an auparavant. Il y a aujourd'hui des centaines d'Initiatives de Transition dans une vingtaine de pays réunies dans le réseau de Transition (Transition Network).
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/13/1165673-bouchons-et-pourquoi-pas-un-peripherique-a-etages.html
Il est temps de voir les choses différemment loin de la mutiplication des flux ou des autoroutes miraculeuses (l'arrêt du projet d'autoroute Toulouse-Castres reste la priorité dans l'accord gouvernemental 2012!) ... un mot d'ordre : la sobriété vers le bien commun!
La Transition est une méthodologie qui permet d’augmenter la résilience des villes face à la crise majeure que l'on attend dans quelques années suite au pic pétrolier. La résilience peut être définie comme la capacité à encaisser des chocs sans cesser de fonctionner. Les populations locales (c’est nous…) sont invitées à créer un avenir meilleur et moins vulnérable devant les crises écologiques, énergétiques et économiques qui menacent en agissant dès maintenant pour :
-réduire la consommation d'énergie fossile ;
-reconstruire une économie locale vigoureuse et soutenable et retrouver un bon degré de résilience par la relocalisation de ce qui peut l'être ;
-acquérir les qualifications qui deviendront nécessaires.
Chaque collectivité locale trouvera par elle-même les actions qui lui conviennent en fonction de ses ressources et de ses enjeux. Il n'y a pas de réponse toute faite. Pourquoi agir localement ?
- parce que l'économie devra inévitablement se relocaliser en grande partie ;
- parce que c'est le niveau auquel les citoyens peuvent inventer des solutions bien adaptées à leur réalité et passer à l'action;
- parce que c'est souvent près de nous que se trouvent les gens, les ressources et les solidarités pour agir.
Le mouvement de Transition est né en Grande-Bretagne en septembre 2006 dans la petite ville de Totnes. L'enseignant en permaculture Rob Hopkins avait créé le modèle de Transition avec ses étudiants dans la ville de Kinsale en Irlande un an auparavant. Il y a aujourd'hui des centaines d'Initiatives de Transition dans une vingtaine de pays réunies dans le réseau de Transition (Transition Network).
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/13/1165673-bouchons-et-pourquoi-pas-un-peripherique-a-etages.html
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